« Discussion:Installer les pilotes nVidia privateur » : différence entre les versions

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Salut, c'est une invention de Richard Stallman, c'est plutôt récent [http://linuxfr.org/~nh2/27826.html] L'expression n'est pas validée par les classiques, mais commence à être courante, même si elle est controversée. Je suppose que c'est une question d'habitude, je n'aime pas beaucoup car je ne connaissais pas... [[Utilisateur:Lol|Lol]] 9 février 2010 à 16:17 (UTC)
Salut, c'est une invention de Richard Stallman, c'est plutôt récent [http://linuxfr.org/~nh2/27826.html] L'expression n'est pas validée par les classiques, mais commence à être courante, même si elle est controversée. Je suppose que c'est une question d'habitude, je n'aime pas beaucoup car je ne connaissais pas... [[Utilisateur:Lol|Lol]] 9 février 2010 à 16:17 (UTC)
Depuis quand Richard Stallman s'exprime-t-il en français ? [[Utilisateur:Ggoodluck47|Amicalement, Gerard]]
Depuis quand Richard Stallman s'exprime-t-il en français ? [[Utilisateur:Ggoodluck47|Amicalement, Gerard]]
[http://atilf.atilf.fr/dendien/scripts/tlfiv4/showps.exe?p=combi.htm;java=no; L'ATILF] connait :
Privateur, -trice, adj., (dans l'article PRIVER, verbe trans.)
Fam. [En tournure nég.] Ne pas se priver de + inf. Ne pas manquer de, ne pas s'abstenir de. Les clients de l'étude ne se gênaient pas plus devant lui qu'on ne se prive de parler en présence d'une douzaine d'huîtres (ABOUT, Nez notaire, 1862, p.122). Elle me rappelait que je me voyais déjà pape, académicien, empereur! Et comme je n'étais rien de tout ça: il y avait de quoi rire. Elle ne s'en privait pas et finalement elle m'a foutu dehors (QUENEAU, Loin Rueil, 1944, p.148).
REM. Privateur, -trice, adj., rare. Qui prive. Doctrine du péché: étant capable de tout le mal n'en rien faire, et voilà le bien; volonté privatrice je n'aime point cela (GIDE, Réflex. litt. et mor., 1897, p.414).
Prononc. et Orth.: [], (il) prive []. Att. ds Ac. dep. 1694. Étymol. et Hist.1. Ca 1300 «ôter à quelqu'un, à quelque chose un bien, un avantage» (Gloss. rom., ms. Bibl. royale, 9543 ds T.-L.); 2. 1538 se priver de «renoncer à l'usage de quelque jouissance» (EST., s.v. praecludere); 1819 se priver «s'imposer des privations» (BOISTE). Empr. au lat. privare «écarter de, ôter de, dépouiller». Fréq. abs. littér.: 1357. Fréq. rel. littér.: XIXes.: a) 2142, b) 1595; XXes.: a) 1631, b) 2105.
Nous voila donc privés de liberté...--[[Utilisateur:Le fada|le_fada... toujours à l'ouest !]] 10 février 2010 à 16:04 (UTC)
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